Conseils et astuces pour parier sur les courses hippiques

Vous trouverez dans les revues spécialisées et sur Internet des quantités de ‘bons’ conseils pour parier au Turf. Dans cette masse d’informations, d’astuces et de tuyaux divers, il y a du bon et du moins bon, comme bien souvent dans les médias de masse. Ignorant ces pseudo conseils, nous avons essayé, au contraire, de partir de notre expérience personnelle et de vous indiquer ce qui marche (et ne marche pas) au turf, en insistant sur les bonnes pratiques et sur les pièges à éviter.

Mais ParierSurTout.com n’a pas la prétention de détenir la vérité sur ce sujet, particulièrement complexe au demeurant ! Entendons-nous bien : ce n’est que vous et vous seul, qui, échec après échec, succès après succès, arriverez à vous faire votre propre opinion de ce qui fonctionne et de ce qui ne fonctionne pas au turf !

Les conseils de base pour débuter au Turf

Choisissez un bookmaker de confiance pour débuter.

Ne prenez pas de risque pour votre premier bookmaker. Inscrivez-vous chez l’opérateur historique, le PMU ou chez l’un de ses concurrents ZETurf.fr qui offre des rapports légèrement supérieurs. Avec les bonus proposés par ces 2 opérateurs, vous pouvez tester les fonctionnalités des 2 sites et vous faire une idée des  avantages/inconvénients de chacun d’eux. Avec un peu de chance, vous pourrez faire fructifier ces gratifications offertes avec votre première inscription.

Débuter avec le jeu simple pour gagner en sérénité

Si vous êtes complétement novice aux courses, commencez par le pari simple. Essayez de trouver, soit le cheval qui arrivera en tête (pari simple gagnant), soit, si vous avez un doute et si vous n’êtes pas sûr de vous, le cheval qui finira dans les 3 premiers (pari simple placé). Pariez sur le cheval qui affiche la plus petite cote et limitez-vous, pour commencer, à la mise de base : 1,5€ au PMU et seulement 1€ chez ZETurf.fr.

Pour progresser au turf, ne pas rayer systématiquement le favori

Après avoir pris confiance, la plupart des débutants font souvent la même erreur: ils délaissent le favori et misent exclusivement sur des outsiders à fortes cotes pour essayer de toucher de gros rapports. Au contraire, pour progresser vous devez continuer à inclure le favori dans votre ticket, mais y adjoindre un cheval plus spéculatif pour faire une 2ème base de jeu.

Ne pas se fier aux tuyaux glanés ici ou là !

Le monde du turf est connu pour véhiculer toutes sortes de bons et (très souvent) mauvais conseils en tous genres, particulièrement à l’hippodrome. Les conseilleurs n’étant pas les payeurs, fiez-vous à votre seul jugement et à votre sens de l’observation. Ouvrez les yeux au rond de présentation, lisez la presse et/ou regardez les médias spécialisés et faites votre papier en toute objectivité.

Les conseils de bonne gestion financière avec le pilotage de votre bankroll

Ne pas engager plus de 5% de votre capital jeux sur une seule course

Définir un budget à consacrer au turf par intervalle de temps et ne pas y déroger. Par exemple si vous décidez de consacrer 100€ par mois aux courses hippiques, n’engagez pas plus de 5€ sur une seule course. Si vous avez perdu vos 100€ le 20 du mois, attendez le début du mois prochain pour verser à nouveau 100€ sur votre bankroll (votre compte joueur). Jouer dont rester un loisir !

Analyser vos erreurs après la course: le retour d’expérience

Dans la vie, mais particulièrement au turf, on doit apprendre de ses erreurs : c’est le fameux REX : Retour d’Expérience, pratiqué intensément dans les entreprises d’avant-garde. Pour votre petite entreprise de paris hippiques, il est indispensable de revenir sur les notes de votre papier d’avant course et de regarder ce qui n’a pas marché. Quels sont les pronostics qui étaient fiables et ceux qui se sont effondrés ? Avez-vous bien analysé les variations de la cote ? Quels enseignements en tirer pour la prochaine course?

Les conseils pour faire les bons paris aux courses hippiques

Choisir un cheval dont l’engagement tombe au bon moment.

Pour engager son cheval dans une course, l’entraineur doit répondre aux conditions de la course: âge, plafond des gains, recul ou handicap de poids éventuel,. De plus, un cheval sera d’autant mieux engagé dans une course s’il a déjà concouru sur l’hippodrome en question, dans la discipline et pour la distance de l’épreuve visée.

Utiliser le chrono (réduction kilométrique) à bon escient !

Il est dangereux de faire une froide comparaison entres les réductions kilométriques des chevaux. En effet, les conditions d’obtention de ces chronos (hippodrome, distance, compétition,..) sont toutes aussi importantes que le chiffre lui-même. Par contre, si un crack vient de battre son propre record, c’est un signe à ne pas négliger car il peut s’agir d’un retour en forme. Notre conseil : essayez d’en faire votre cheval de base si les autres paramètres sont bien au vert.

Sans fer, avec 2 fers ou 4 fers, sachez identifier la course visée

Au trot, un entraineur ne prend jamais la décision de déferrer son cheval à la légère. En effet, les sabots des équidés sont fragiles et un cheval ne peut pas être déféré à vie. Un cheval déferré améliore sa réduction kilométrique de 1 seconde en moyenne. Le déferrage (total ou partiel) est indiqué la veille de la course (dans les revues spécialisées et sur les sites de paris en ligne) et donne donc une précieuse indication sur les intentions de l’entraineur pour la course en question !

Le port des œillères est-il un bon ou mauvais signe?

Chez le cheval, les œillères ont pour but de limiter son champ de vision de façon à ce qu’il ne se consacre qu’à la course et pas à autre chose. Si un cheval à l’habitude de concourir sans cette occultation, le port des œillères pour une course donnée est donc le signe que l’entraineur vise cette course. Par contre si un inédit porte des œillères pour la première fois : méfiance ! Il peut s’agir d’un spécimen particulièrement timide et/ou facilement impressionnable par ses congénères. Le port des œillères est signalé dans les journaux spécialisés.

Ne pas se faire piéger avec la position à la corde

Si dans la grande majorité des cas, la position à la corde procure un avantage indéniable, il y a des situations ou tirer un petit numéro peut devenir un handicap pour le cheval et son cavalier: terrain lourd par exemple ou départ à l’autostart pour une course de trot. Attention aussi à regarder les prédispositions éventuelles des chevaux pour une piste corde à droite ou corde à gauche !

Comme en amour, les premières fois ne durent pas toujours!

Ce n’est pas une galéjade, les éléments novateurs dans les conditions d’une course sont à prendre très au sérieux. Sachez profiter d’un cheval déferré pour la première fois au trot, d’une portée d’œillères inédite au galop, du premier engagement d’un cheval dans une course à réclamer, d’un retournement de forme après un passage à vide…Des opportunités à saisir sur votre ticket, avant que la roue tourne !

Nous arrêterons ici nos conseils pour parier au Turf, pour au moins 2 raisons. La première tient à un adage bien connu ‘trop d’info tue l’info’. La deuxième est liée à la nature imprévisible du déroulé d’une course avec son lot d’aléas en tous genres. Vouloir tout contrôler et tout paramétrer est une erreur que les turfistes ‘trop théoriques’ commettent souvent.

En effet, au-delà de la douzaine de conseils ci-dessus (et croyez-moi, 12 recommandations à suivre c’est déjà beaucoup), le mieux est de vous fier à votre propre feeling, le seul à vous faire prendre, en final,… la bonne décision. A vous de jouer !

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